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noel
| Envoyé samedi 19 février 2005 - 08h10: | |
Là où je vis , où je m’isole , où des bras de nuages , où des plumes sans pages , doucement m’immolent … là où je vis , je saigne un peu , tachant mes passages , signant des images , nourrir un feu , un peu… là où je vis , les yeux fermés , mon cœur en glace , meurt sur place … là où je vis , les bras fermés , je meurs de froid , je meurs d’aimer …
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Cécile
| Envoyé samedi 19 février 2005 - 10h15: | |
Poème très fort en émotions... On sent un goût de sel en le lisant. Tu as bien su faire passer la tristesse, l'isolement d'aimer, le coeur à vif. |
   
hélène
| Envoyé samedi 19 février 2005 - 10h17: | |
Noel tendresse tu ne viens plus assez souvent . |
   
yh
| Envoyé dimanche 20 février 2005 - 22h21: | |
Je retrouve en ce poème ce qui est devenu rare : la justesse, et ce qui devient rare aussi sur le net, le poème abouti capable de dire en profondeur. Tu es précieuse. Il faut venir plus souvent en visite ! |
   
noel
| Envoyé lundi 21 février 2005 - 22h41: | |
je suis toujours assez heureux quand la part de féminité qui est en moi est tant mis en lumiére ;))) j'vous remerçie beaucoup et j'vous embrasse tous trés fort les francopoliçiens , m'enfin , j'ai déja dit dit et je l'ai fait içi jusqu'a l'overdose , à part me repeter par le biais de Mr Copié et Mme Collé , que puis-je faire ?? mais j'suis tjs trés touché de toucher
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c.g.
| Envoyé mardi 22 février 2005 - 20h59: | |
touché de toucher )))) et toucher de touché ! des bises de catchat |
   
mohand
| Envoyé mercredi 23 février 2005 - 02h01: | |
un beau poème impose toujours la diction qui devrait en etre faite. Il est, en effet, impossible de lire le poème de noel à haute voix ou rapidement sans lui faire perdre ce qui fait sa pétécité cad sa musique douce et triste à la fois. Merci pour ce plaisir. |
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