| Auteur | Message | ||
     Pascal Duf |
Coyoacàn L’exposition, couleurs de sang… L’éternelle enfant Est couchée sous le lourd baldaquin. Sonnent les chants sacrés de Tehuantepec Vent des canyons, brûlant et sec Hurlant, souffle la fin. Dans une lumière irisée, Dorée… Sur les reflets magiques des soleils de l’Alameda L’ombre des cris et des caresses, Perverse… S’annonce simplement et s’allonge déjà. La Maison Bleue se voile, frileuse, Peureuse… Sur la table fleurie, les pinceaux sont posés Dans le jardin muet, Diego s’est affaissé Ta souffrance absolue est devenue langage Quelques couleurs pures tu prends pour tout bagage Frida aimait Diego… « Espero alegre la solida – y espero nunca volver » (J’espère que la sortie sera heureuse – et j’espère ne jamais revenir ) » | ||
| Hélène |
touchée aussi par Frida kahlo une femme une artiste un courage impossibles à oublier | ||
| st jude |
j'aimais beaucoup Frida Kalho, à cause de ce qu'on disait d'elle Puis j'ai lu ... quelle déception ! quelqu'un qui n'est intéressé que par soi même et le bruit qu'elle peut faire autour... encore un de ces personnage construit de toute pièce autour d'un mythe politico-artistico-sexualico-feministico etc.... personnellement, je préfère les gens modestes. | ||
| Hélène |
tu as vu le film ? oui bien sûr ses tableaux parlent de sa vie presque uniquement . peut être à cause de cet accident dramatique et ce désir d'enfant Quelle souffrance. son seul bonheur était de peindre. si elle avait été trop modeste on ne connaîtrait pas sa peinture très belle et que je préfère à celle de Diego qui pourtant a fait bien plus parler de lui. | ||
| jml |
l'orgueil fait trop de bruit mais la modestie trop souvent se transforme en bâillon. | ||
| jml |
tu développes vraiment une façon d'écrire qui n'appartient qu'à toi. j'aime beaucoup ton approche des mots. |