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Message |
   
maple
| Envoyé lundi 07 mars 2005 - 18h20: | |
Dans ce peu de pays, ce peuple de silence au front sculpté de froid, drôle de vie, drôle de monde où chacun joue son rôle sans savoir les répliques, je me creuse une flamme au coin de chaque rue. Au creux de ton odeur je ne dors pas je rêve auprès de tes effluves comme au fond d'un grand fleuve. J'avance à pas de larmes dans la violence armée de fleurs et de soleil, de voyages en racines, de sommeil en réveil, de sol en tournesols. Je t'apporte l'amour au moment des fusils. En dette envers la vie j'y solderai ma peau en payant de mes mots.
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peuple de silence
| Envoyé lundi 07 mars 2005 - 20h34: | |
Je t'apporte l'amour au moment des fusils. oh ! booooooooooo
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frilang
| Envoyé lundi 07 mars 2005 - 20h48: | |
hommage à Giualiana Sgrena !! ou un cri de cette autre rive !! beau poéme |
   
Jordy
| Envoyé lundi 07 mars 2005 - 21h06: | |
il est excellent, ce texte! |
   
Christiane
| Envoyé mardi 08 mars 2005 - 02h22: | |
Vous ne l'avez pas reconnu cet érable!
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mohand
| Envoyé mardi 08 mars 2005 - 16h09: | |
bonjour tout le monde je suis de retour. "Je vous apporte l'amour Au moment des fufils" Ce poème m'a sorti de la tristesse où m'a plongé le destin d'un frère. Ce poème m'a appris que sur terre il n'y a pas que d'humain inhumain. Merci maple. une image qui résume la trsistesse des temps contemporains |
   
Jordy
| Envoyé mardi 08 mars 2005 - 20h11: | |
C'est JML? Pourquoi il a changé de pseudo? |
   
lafourmi
| Envoyé mardi 08 mars 2005 - 20h14: | |
il le dit ailleurs sous un autre texte de marple parce que ce sont des textes plus anciens
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