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Oulad Alla
| Envoyé vendredi 11 mars 2005 - 15h07: | |
C'est alors que je la vis se figer Vers le dernier lambeau qui reste De l'Homme , cette tarentule muette Au dos sournois et au regard étranger Ne vois-tu pas qu'elle le venère? Bien mieux que je le profane Sais-tu que ce seuil diaphane doit être surmonté?Rêve de pierre O Nature perverse ! Que de corps Ensevilis dans ton sein ;couleur de soufre Que de songes lactés! que de transports Ai-je du supporter!Combien de fois même J'ai brisé mes idôles et oté mon diadème Et tu ris ? tu me trouves très superficiel Par profondeur ; mon moindre défaut! C'ést alors que je te renie :il le faut! J'ai brisé ton image qui corrompt le ciel.
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ali
| Envoyé vendredi 11 mars 2005 - 19h47: | |
Triste belle histoire ! merci Oulad alla..te revoilàla!!;) |
   
mohand
| Envoyé vendredi 11 mars 2005 - 22h38: | |
Le leurre nous étrangle. La peur de vivre plus longtemps Nous retient à la vie. l'espoir de revoir nos corps se déssoudre à petit feu augmente nos envies. Dure est la vie. "O nature perverse" Tu nous apprends chaque jour Que nos rêves ne sont qu'un cauchemer. |
   
ouled Alla
| Envoyé mardi 22 mars 2005 - 10h57: | |
oui! Me revoicici !!! ali! Merci Mohand pour ce bel écho!! |