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jml
| Envoyé mardi 29 juillet 2003 - 16h11: | |
IL Y A TOUJOURS Il y a toujours un monde Derrière chaque visage, Un oiseau renaissant De ses propres ossements, Un feu se rallumant Dès qu'on nomme la cendre, Une fleur en émoi Au toucher du soleil, Des couleurs endormies Du côté noir des choses Qui attendent l'éveil, Des globules inconnus Dans le sang des maisons, Des racines qui poussent Dans les pas du voyage. Il y a toujours des routes Ouvertes à l'invisible Derrière le bois des portes, Un rêve derrière la nuque Attendant de jaillir, Un fleuve qui s'éveille Lorsque nos mains se joignent. Même au loin même ailleurs Tu me fais croire à l'impossible. |
   
Anonyme
| Envoyé mercredi 30 juillet 2003 - 14h19: | |
MA*GNI*FI*BELLE cette plume JML, j'adore
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Christiane
| Envoyé jeudi 31 juillet 2003 - 02h41: | |
Il y a toujours un poète ouvert à l'espérance. C'est vous. Mais pour moi, je constate que ce n'est pas un moteur pour écrire. J'ignore la raison. Merci d'exister pour les autres Christiane |
   
florence
| Envoyé jeudi 31 juillet 2003 - 10h13: | |
"Il y a toujours des routes Ouvertes à l'invisible Derrière le bois des portes, Un rêve derrière la nuque Attendant de jaillir, Un fleuve qui s'éveille Lorsque nos mains se joignent. " poète ouvert à l'espérance oui, voila bien un belle définition de ton écriture jean-Marc ! j'aime particulièrement ce passage, qui est d'une grande beauté; tu es en verve il me semble!!! |
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