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philiPPe
| Envoyé vendredi 25 mars 2005 - 15h12: | |
À la mer houleuse des sentiments, l’étang est sans vague. L’île au rêve est au milieu ; des hommes ont construit des petits ponts de bois pour la rejoindre, des endroits de gazon vert pour les pêcheurs. À la mer agitée des tourments passagers, Le soleil éclaire le cygne blanc, tandis que passent des canards sauvages ; ils ont des colliers de couleurs à leurs cous, ils entrent dans le vent, le déploiement de leurs ailes sont les pages du livre retourné, tombé, par accident, du firmament. À la mer houleuse des sentiments L’envol des canards sauvages fait tomber les feuilles du gros arbre, siffle à mes oreilles, tandis qu’à l’étang, tranquillement et sereinement, le cygne blanc glisse sur l’eau. philippe |
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