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noel
| Envoyé lundi 28 mars 2005 - 00h39: | |
quand je tisse des filets , dans mes fonds et m’y papillonner et m’y enchevêtrer qu’un visage se dit de ton prénom , que ce n’est pas toi , qu’un écho je … quand de ta famille , de tes amis , de tes collègues , de tes voisins , de tes poussières , de ta vie , je croise , je sais … quand je me crois perdu , dans des longues grottes , noires silencieuses , que je me pense oublié , je sais que … … quand dressent les quands, entre nous , des briques de temps , j’suis là , le ciment , en travers , pour t’y voir , à travers , je sais que … … …et je le garde en moi … 27/03/05
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so-so
| Envoyé mardi 29 mars 2005 - 20h45: | |
tiens... noël à pâques... |
   
[^_^]`
| Envoyé mardi 29 mars 2005 - 21h11: | |
...,..., ... humour, humour, quand tu nous tiens... ...,... |
   
noel
| Envoyé mardi 29 mars 2005 - 21h36: | |
ça grince tjs un peu l'humour de so , d'un grincement qui peut ennerver , mais dont on ne pourrait se passer , un grincement dans le paysage , mais dans un paysage qu'on aime , qui fait un grincement qu'on aime ... |
   
k
| Envoyé mercredi 30 mars 2005 - 18h27: | |
J'aime bien ce texte. C'est un sentiment fort et secret, gardé. Les suspensions voudraient parler. Salut
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Lilas
| Envoyé jeudi 31 mars 2005 - 00h12: | |
C'est un texte interessant par la forme et le fond et je l'apprécie pour les raisons précisées par l'intervenant précédent. |
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