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philiPPe
| Envoyé mardi 05 avril 2005 - 19h08: | |
Assis sur ce banc, du premier jour de printemps, je souris à la page que je lis. Les arbres sont encore nus de l'hiver. Le vent fait tomber le marque-page, j'ai perdu le numéro de la page, je la retrouve, je l'oublie, je la tourne, le soleil passe dans mon dos, mon ombre se mélange au peuplier ; un oisillon tombe du nid, je le prends dans la main, il rejoint ce pur moment de poésie ! Une semaine passent... Aux histoires apparemment sans fin des uns, des autres, de toi, de moi, de lui, j’expose mes mains au vent. C’est le printemps, une flamme semble s’être réveillée en mon âme, depuis l’autre jour. Au soleil couchant, j’ai vu l’arc-en-ciel oriental, quelques instants après, j’ai allumé la lampe ; je dois finir l’histoire de ce livre ; elle semble plate, en comparaison de l’aspiration de mon histoire d’amour qui se poursuit. C’est le premier jour du mois d’avril ; il y a encore des jours à vivre.
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Jordy
| Envoyé mardi 05 avril 2005 - 20h04: | |
sympathique et même émouvant. Corrige tout de suite:"une semaine passent" c'est bien sûr "une semaine passE" |
   
philiPPe
| Envoyé mardi 05 avril 2005 - 23h05: | |
oui, oui, Jody merci. Je ne sais vraiment pas comment, je peux laisser de telles choses ! J’en ai presque honte, sérieusement. C’est probablement une phrase que j’ai changée au dernier moment sans penser à changer l’orthographe. du genre : des jours passent-> une semaine passent-> changement sans changement d'orthographe. Ou alors, une grosse d’inattention. Toutes mes excuses. |
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