| Auteur | Message | ||
     PascalDuf |
Fresque en liberté… Ton sourire est joyau, précieux et doux Sur le mur de chaux, ma fresque en devenir… Tes sourires, parenthèses de liberté, Quelques fruits rouges sur le plateau des jours, Un regard de bébé, La chaleur diffuse du soleil en terrasse Sur les épaules fourbues… La promesse éclatante d’une histoire rassurante Lorsque l’ombre assoupie s’allonge sur les dalles rosées. J’imagine, une vallée… Où définitivement cacher mes rêves simples Une vallée avec des prés d’émeraude Où marcher pieds nus Sur le sol ciré par la pluie du matin. Sans horloge, ni tumultes Je serais vraiment homme Je serais un grand pin avec dans mes branches Le vent tourmenté de vos villes bavardes Je veux ouvrir en grand mon écorce vernis Sentez… J’ai la fibre battante et le cœur apaisé. Vous me direz comment ? Vous me direz pourquoi ? Tout simplement parce que : Ses sourires, parenthèses de liberté, Quelques fruits rouges sur le plateau des jours, Son regard de bébé, La chaleur diffuse du soleil en terrasse Sur mes épaules fourbues… La promesse éclatante de notre histoire… Rassurante… Lorsque l’ombre assoupie s’allonge sur les dalles rosées. Son sourire est joyau, précieux et doux Sur le mur de chaux, ma fresque se termine… | ||
| lilas |
J'aime particulièrement la belle harmonie du vers : "Lorsque l’ombre assoupie s’allonge sur les dalles rosées" et l'image du " grand pin avec dans (ses) branches Le vent tourmenté de vos villes bavardes" Merci pour l'ensemble de vos poèmes qui dépaysent de belle façon. | ||
| jml |
en poésie le je n'est pas narcissique mais commun. c'est à la fois le je de l'auteur et celui de tous les hommes. tu l'emplois d'ailleurs dans le poème plus haut. tes commentaires et tes poèmes amènent un vent de fraîcheur. merci lilas. pascal sait déjà tout le bien que je pense de ses textes. |