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mohand
| Envoyé jeudi 14 avril 2005 - 16h17: | |
Tu te révéilles mouillé de ténébres Tes haillons essorés ne cachent plus tes secrets Les étoiles A ton arrivée S'égrennent comme un chapelet Une à une Elles s'évadent L'aube avançant à pas de loup comme ton sourire venant effacer tes colères enragées. Bonjour soleil qui de nous deux Se lamente de ne pas être aimé Toi tu traverses le temps Peu importe les attentes Moi je guette ton passage Ma demeure est la nuit Tes rayons en sont les murs Prête moi un asile Ne serait ce que pour un été |
   
ali
| Envoyé jeudi 14 avril 2005 - 22h11: | |
Pour tes tendres emprunts de lyre ta langue aux prières des feux tes envies au vert et blanc d'hiver au rose et jaune printaniers je n'ai que mes infinis suds rupestres pour tes soifs au regard d'infini pour que tu y graves tes cordes et notes ne serait ce que pour une aube de vie. merci mohand
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