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pio
| Envoyé vendredi 15 avril 2005 - 17h33: | |
je m'en reviendrai vers les choses simples tu te souviens de nos mots soudés à la vie des vrais mouvements de l'âge je pense au charabia qui court mes rues à ce discours ampoulé qui s'en va tout seul tu te souviens de nos amours de cuisine entre deux enfants entre les mains de la vie j'entends les plus beaux airs venir du vrai de la rue et de l'autobus et je me dis que ça ne court plus les rues quand le coeur passe en laissant traîner encore la profonde marque l'âme qui se souvient le soir mon amour à l'heure où j'observe sur le coin du jour quand le plus beau se manifeste entre deux trop longs poèmes je me souviens
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JG
| Envoyé vendredi 15 avril 2005 - 17h55: | |
Je peux ? "discours ampoulé " j'aurais écrit "discours filandreux" parce que je trouve qu'Ampoulé n'est pas trop chouette pour ce qui est de sa sonnorité et parce que dans "Filandreux" on entend le mot "fil"... Comme un lien, une même attache,comme une idée de longeur dans le discours |
k
| Envoyé vendredi 15 avril 2005 - 19h43: | |
oui JG tu peux. C'est une opinion. Je préfère ampoulé pour le sens qui s'y rattache. Ces discours vêtus de trop de mots pour rien, pour faire beau. merci karl |
Ida
| Envoyé vendredi 22 avril 2005 - 11h42: | |
pense au charabia qui court mes rues à ce discours ampoulé qui s'en va tout seul nos amours de cuisine entre deux enfants ça ne court plus les rues quand le coeur passe j'observe sur le coin du jour je me souviens
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