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ali
| Envoyé samedi 16 avril 2005 - 03h24: | |
Pan de sort Dés que les hommes s'éprennent sans passation des doutes indolents de senteur de leurs refus ou de leurs accords d'un train-train des jours des emplettes désertes ou des claquements de becs les torrents qui pleurent éternellement solitaires leurs oreilles de nuit sans dards ni fards ni traversin s'évaporent au creux de leur fins là où verdissent des arches animés de langages de toutes ses hordes érodées de mystère du don d'une vague comme cette faiblesse des hommes pour adoucir ses morts crève d'ignorer ses pas de tumulte.
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