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Marion Lubreac
| Envoyé lundi 18 avril 2005 - 13h45: | |
BAISERS SUCCUBIQUES Je voudrais tant parler, j’aimerais tant te dire T’enivrer de tendresse, t’envoler de douceur Je voudrais tant te prendre Et la main, et le cœur ! Je viendrais contre toi coller mon âme entière J’y poserais ma bouche, incendierais tes lèvres Si j’en avais le droit… Nous nous ferions l’amour J’esquisserais vers toi les pas de l’espérance Te prendrais dans mes bras, caresserais ta bouche Si j’en avais le droit… Tu le sais que je t’aime Je voudrais m’enrouler tout autour de ton âme Un peu comme une liane Comme épouse le lierre M’abreuver de ta sève jusqu’à l’écoeurement Si j’en avais le droit… Je plaquerais ma bouche à tes lèvres humides Avidement Longuement Et je t’incendierais Je t’enflammerais Je te ferais chavirer la raison Mon amour Mon tendre et doux amour Empêche- moi de te couvrir de ma chaleur Mon amour Repousse ma tendresse Ne reviens plus jamais boire à l’eau de mes yeux Fais-moi juste souffrir Par amour Offre-moi la désespérance De te savoir choyé par la vie Je veux t’aimer absolument Infiniment J’enrage Je souffre Au-delà de ma folie Je voudrais voler vers toi Violer ta fenêtre et ramper vers toi Puiser ta semence Pour m’offrir des délices Va. Va mon amour, Que je puisse me désincarner Et te surprendre Prendre possession de ton corps Et me frotter à ton âme Me frotter à t’enflammer Jusqu’à te posséder… J’ouvrirai une- à- une les portes de ta déraison Pour que tu t’offres à moi Totalement Dans une extase infinie Je t’offrirais l’échange dans la fusion totale de nos êtres Dans l’inceste le plus pervers de notre gémellité Dans toute la splendeur de mon instinct de femelle Je viendrais à toi Et m’offrirais Si j’en avais le droit …Cette offrande diabolique formerait le creuset de notre Alchimie mon amour Marion LUBREAC
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JG
| Envoyé lundi 18 avril 2005 - 17h22: | |
Même pas tout lu ! Ca m'gonfle... bla bla bla bla... C'est gentil, mais bon! Y a rien de nouveau, pas de recherche... Bref ça ne vaut que ce que ça vaut, c'est à dire pas grand chose à mon avis |
   
Marion
| Envoyé lundi 18 avril 2005 - 22h34: | |
BEN Y'a qu'à l'effacer? Meme pas mal. |
   
ali
| Envoyé lundi 18 avril 2005 - 22h58: | |
une poèsie d'un grand amour soufi!! JG surement en est jaloux!! la poèsie n'est ni mortier ni fèves! |
   
mohand
| Envoyé mardi 19 avril 2005 - 02h29: | |
A chacun sa poesie, celle de Marion enflamme, enrage, mais n'exprime pas l'amour tel qu'il se doit mais un besoin naturel, certes, mais un peu trop charnel. il merite de s'exprimer par les gestes et non par les mots!!!!!!!!!! ./ on est passé a coté de la plaque ou au-delà je n'en sais rien. |
   
Le jaloux
| Envoyé mardi 19 avril 2005 - 06h54: | |
Je frappe à la porte du diable et c’est moi-même qui m’ouvre la porte, moi-même qui me reçois…Moi-même qui réponds... Je n’aurai jamais dû faire confiance à l’amour… Un amour comme une arme qui tue pour le plaisir, avec cette façon de toucher l'incroyable, calqué sur l’invisible du silence…. Le fruit de l’imparfait, d’impossibles répliques, à chevelure longue…Ces voix à rendre sourd que personne n’entend….Personne d’autre que moi ! Les cris de mes pensées, comme le chant de l’eau… Le bien-fondé à mes délires, où tanguent tous les mots... Moi qui vie dans un monde où les arbres sont lisses, où les bras sont trop courts Où voguent des bateaux qui se voudraient navires… Qui use de symboles, pilés, paraphrasés, D’allégories rivées au bout des sentiments Un monde qui se hisse Ou des fleurs factices Se moquent bien des mots Moi je vais dans un monde où les rêves s’en vont au touché d’une voix, Où suintent mille tendresses Où personne ne meure Qu’on me frôle les doigts et c’est moi qui vous frôle. J’ai dû perdre mon temps
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Marion
| Envoyé mardi 19 avril 2005 - 10h57: | |
"Marion enflamme, enrage, mais n'exprime pas l'amour tel qu'il se doit mais un besoin naturel, certes, mais un peu trop charnel. il merite de s'exprimer par les gestes et non par les mots!!!!!!!!!!" tu me fais bien rire, toi! trouve moi un choregraphe alors, et il fera danser les corps nus au gré de ma plume |
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