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Marion LUBREAC
| Envoyé lundi 18 avril 2005 - 23h17: | |
LA CLE DE TON GRENIER... Je m'engage, les tempes affolées, dans le boyau étroit qui mène à ton grenier, réceptacle de saveurs mortes, Souvenirs aux odeurs surannées, Poussière. Je m'enfile, le coeur battant, en ton âme; Ton corps gainé d'acier m'enserre et me retient Ou découvrir la clé de tes mémoires envolées? Comme une antre olfactive que tu composes au fil de tes entrailles je découvre, inclinée, la porte basse de ton jardin secret D'un geste gracieux, la tête un peu penchée Tu m'ouvres sur la clé ta main rude d'amante Je quitte avec délice le monde parfumé pour ton grenier sordide... Marion LUBREAC
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mohand
| Envoyé mardi 19 avril 2005 - 17h17: | |
Un poème dont le titre peut aussi être " une fleur du mal". De tout ce qui est sordide et de mauvais goût tu as réussi à nous offrire une fleur, ce poème. Merci |
Garhance
| Envoyé mardi 19 avril 2005 - 21h38: | |
On dit "un antre".... même si la poésie autorise bien des libertés.. Sinon -puisque tu publies ici c'est aussi pour accepter les avis- je trouve ce poème assez moyen. Il manque le côté pervers et glauque, l'atmosphère sulfureuse. Entrelacer des mots ne suffit pas à créer une ambiance. Mais c'est plaisant. J'ai lu, de toi, des choses plus abouties... A charge de revanche, le jour où je me risquerai |
Marion Lubreac
| Envoyé jeudi 21 avril 2005 - 22h53: | |
tu as raison: un antre! Merci.OUF! ça ne change rien au rythme Je ne me vexe jamais, tu sais, et je n'ai pas d'orgueil. J'ai fait ce poème en trois secondes douze, bon. J'avoue. Moi j'aime bien quand tu me dis que ça ne va pas/ Je suis AVANT TOUT là pour ça. bises |
Marion Lubreac
| Envoyé jeudi 21 avril 2005 - 23h03: | |
tu as raison: un antre! Merci.OUF! ça ne change rien au rythme Je ne me vexe jamais, tu sais, et je n'ai pas d'orgueil. J'ai fait ce poème en trois secondes douze, bon. J'avoue. Moi j'aime bien quand tu me dis que ça ne va pas/ Je suis AVANT TOUT là pour ça. bises |
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