| Auteur | Message | ||
     bor |
ce n'était pas Mozart ni la pluie tu te souviens la balançoire, Christophe assis dans le périple des jours la balançoire et toujours le mouvement des anges il s'en est fallu de peu tu te rappelles ce destin que tu traçais le demi-cercle d'insouciance balancier sur le large ce n'était pas un Requiem mais les battements du sable en voie d'avenir depuis l'enclos de l'enfance tu te balançais, Christophe ta vie vers le monde puis à rebours reviens-moi vite, mon grand que je t'entretienne du reste de nos jours | ||
| Hélène |
c'est très beau , émouvant . on a un peu de crainte , où est Christophe? | ||
| bor |
"tu prends le train pour la vie, et ton coeur va changer de pays" il est là | ||
| justine |
c'est magnifique, merci bor, d'une émotion pure et parfaitement rendue http://insoluble.free.fr/parcequelesenfants.htm serait-ce le même Christophe ? | ||
| lilas |
Quel beau texte ! j'ai eu la même réaction qu'Hélène d'une part et Justine de l'autre. Et il est vrai que le rapprochement de Justine s'imposait : le coeur semble bien le même, sensible et attentif à l'extrême, avec ce battement toujours au bord du tremblé de l'amour inquiet. | ||
| k |
c'est le Christophe en question | ||
| flo |
toujours dans le balancement de tes mots-sentiments k! magnifique complainte des jours. Quand publies-tu? Flo | ||
| flo |
je reviens de ce lien déposé apr Justine : vraiment toujours cette tendresse ultrattentive des fragilités de l'enfance, ce désir de protéger du pire, qui pour un enfant peut-être un presque rien pour nous. Et puis leur mots qui abordent notre pire avec ce déconcertant naturel. Il y a une science de l'amour dans tes mots, une science un peu de survivant, comme si tu ne disais jamais rien d'autre que l'éphémère des merveilles, mais aussi toute l'importance de les vivre entièrement. | ||
| lafourmi |
Karl tu l'as lu alors Mozart et la pluie? Flo tu nous offres un poème ? Il y a longtemps qu'on ne t'a pas lue ici | ||
| k |
non, je ne connais pas ce livre, la fourmi. karl |