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ali
| Envoyé lundi 02 mai 2005 - 22h16: | |
vaut mieux sept fleuves que sept mains -disait un soir le feu. Par un beau matin du temps au trottoir bleu d'un regard j'ai grimpé la magie de vos sables pour réciter les noeuds de mes verbes éffacer le taux de leurs cendres juste aux confins du présent où j'ai brisé les plis de vos doutes et fait du bois mon saint otage afin qu'enfin l'aïeul des mers évaporé en sons de zing puisse reprendre sa fraîcheur l'air n'oublie jamais son silex comme fait le ciel avec la terre.
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Cécile
| Envoyé lundi 02 mai 2005 - 23h00: | |
Un nouveau souffle Ali ! |
mohand
| Envoyé mardi 03 mai 2005 - 01h12: | |
un trés beau poème Aghilas, j'ai beaucoup aimé je ne sais ^pas ce qu'en diraient Cécile et Patricia. En tout cas ,ce poème me rapelle quelqu'un qui répond à un autre se plaignant des années pluvieuses: "tu sais lui dit il ,il vaut mieux trop de pluie car si ça tue des centaines meme elle nourrit le reste mais la secheresse tue tout le monde et c'est grave". comment j'ai établie le rappoert avec ton texte je n'en sais rien!
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flo
| Envoyé mardi 03 mai 2005 - 09h48: | |
Hello Ali, très beau texte, surtout l'entrée en matière : "vaut mieux sept fleuves que sept mains -disait un soir le feu. " un truc m'a gênée tout de même: la trop grande féquence de la formulation : "tatata de tatata" ex: " matin du temps " "la magie de vos sables" "les noeuds de mes verbes" "le taux de leurs cendres " "aux confins du présent" "plis de vos doutes " "l'aïeul des mers" " sons de zing " Mais superbe phrase que "et fait du bois mon saint otage " et la chute est joliment tournée: "l'air n'oublie jamais son silex comme fait le ciel avec la terre." Bonne route d'écriture, flo |
ali
| Envoyé mardi 03 mai 2005 - 13h55: | |
Merci à vous..Oui Flo;dorénavant je ferai attention à mes "dedededede!!!(sourire) |