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philiPPe
| Envoyé jeudi 05 mai 2005 - 10h00: | |
La plupart du temps J’explore les non dits C’est un stratagème de "je t’aime", sur un même thème La plupart du temps je ne fais pas ce que l’autre fait Je prends le temps comme il vient J’éclabousse les carreaux de l’amour Je m’imprègne des couleurs des plantes La plupart du temps J’apprends qu’il y a à vivre, plutôt qu’à lire. Je deviens sauvage Je goutte la sauvagerie dans sa noblesse la plus extrême La plupart du temps Je prends le temps qu’il faut Je n’encombre de rien pour rester léger mais quand il y a un coup de main à donner je le devine, je mime la scène alors et je me mets à l'ouvrage dans le silence ; le lendemain, je me repose, je gomme les inutilités et je découvre des nouveaux univers. La plupart du temps Je souffre de l’indifférence, mais je me reprends en cultivant ma différence : il m’est impossible de m’arrêter en route j’aime trop les paysages avec ses oiseaux. j’aime trop la sensation de l’eau dans le fleuve qui traverse les villes pour rejoindre la mer. www.philippebray.net |
yv
| Envoyé jeudi 05 mai 2005 - 23h42: | |
Ouais, il tourne, le moulin et donne beaucoup de bonne farine en peu de mots, avec en prime le portrait du meunier. |
Ida
| Envoyé jeudi 12 mai 2005 - 10h39: | |
La plupart du temps Je souffre de l’indifférence, peut être chercher plus de présence dans l'inconscience si bavarde dans son appel
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philiPPe
| Envoyé jeudi 12 mai 2005 - 23h55: | |
merci yv et ida, malgré que je ne sache pas bien ce que vous voulez dire par voS messages.
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