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Atort'Ouha
| Envoyé dimanche 22 mai 2005 - 11h45: | |
À se trouver des lemmes au contour éthylique, tout nous semble à demeure, unique contemplation… Avec l’écho des mots foulés dans ses désordres, ses voix artificielles, dévoreuses à la ligne… La phrase et puis des phrases comme une ombre tremblée, planquée sous chaque mot, vacillant d’écritures… La Poésie mêlée, sournoises de diatribes, dans nos microsilences… Ces lentes envolées qui se voudraient lyriques, sur nos tables de nuit… À nos gorges trahies, dans l’abîme d’un corps… Avec l’interdit qui jamais ne s'endort... |
Pour Ator
| Envoyé vendredi 05 août 2005 - 23h17: | |
"Ces lentes envolées qui se voudraient lyriques, sur nos tables de nuit… À nos gorges trahies, dans l’abîme d’un corps… Avec l’interdit qui jamais ne s'endort..." ------------------------------------ Je ne sais pas ce que je préfère dans vos poèmes, peut-être tout simplement la voix, ou ce qu'elle porte dans ses modulations, ou effleure simplement parfois, la part d'elle-même qu'elle cherche parmi ces mots qu'elle lance sans toujours bien savoir ce qu'ils révèlent de soi ou ce qu'ils en veulent. (Lilas)
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