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PhiliPPe
| Envoyé jeudi 26 mai 2005 - 12h35: | |
L'année est l'instant des réminiscences le mois, la lune des roses les coeurs sont ceux que l'on console tristes qu'ils sont, de ne pas savoir aimer. La poussière du chemin parcouru pénètre la toile de son blouson, auréolé de liberté ; il scrupte les lumières de la ville. Les caillloux traversent ses semelles usées il suit les courbes du grand fleuve, celui qui alimente le grand château de ce roi d'autrefois. Un soleil sur sa tête s'est posé. Quand les paupières sont closes ; les yeux des oiseaux de nuit sont grand ouverts. Les niveaux de l'eau se réajustent pour laisser passer les bateaux, petits et grands. auréolé de liberté, le vent souffle sur l'eau et fait des vagues. La poussière du chemin parcouru pénètre la toile de son blouson, auréolé de liberté ; ses poèmes sont sa poésie. http://philippebray.over-blog.net |
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