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zigzag
| Envoyé mardi 14 juin 2005 - 19h22: | |
Après les ponts de pierres usées comme un vitrail Les cardigans de chaume à l’âme ruisselante Sous l’arc jaillissant des échos de Ferré Je me suis assis là articulant sa vague… Hier avec un rêve et ses gosiers de houle Son ciel de barbier suant sous les étoiles Hier c’était ma terre enroulée dans sa voile J’ai tant brisé la mer comme une vitre d’eau… J’ai tant gommé le chiffre aux horloges du tendre Les chemins sous tes robes à perdre ta raison L’alphabet dans un cri son palais pour me prendre Dans l’orbe des dérives aux courbes de l’orient
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aglaé
| Envoyé mercredi 15 juin 2005 - 09h18: | |
"J’ai tant gommé le chiffre aux horloges du tendre Les chemins sous tes robes à perdre ta raison " rassure toi, le reste est très chouette aussi Glaé
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L pour ZZ
| Envoyé mercredi 15 juin 2005 - 10h46: | |
"Hier c’était ma terre enroulée dans sa voile J’ai tant brisé la mer comme une vitre d’eau…" Ces vers chantent beau. Impression que ce poème n'est pas encore fini, la mer, la femme, ...et l'alphabet - baie, il bée ? - (1) , ces appels, toujours recommencés ... _______________________________ NB-j'ai arrêté avant de rassembler un troupeau ! |
   
zigzag
| Envoyé mercredi 15 juin 2005 - 16h46: | |
ben il n'est pas complet, mais parait aussi qu'il ne veut rien dire... Qu'il est incompréhensible pour certaines personnes incertaines,que je ne connais d'ailleurs pas... je peux entre autre comprendre que ça leur fasse cette impression là... Merci à vous deux Là il est midifié et plus complet : Après les ponts de pierres usées comme un vitrail Les cardigans de chaume à l’âme ruisselante Sous l’arc jaillissant des échos de Ferré Je me suis assis là articulant sa vague… Hier avec un rêve et ses gosiers de houle Son ciel de barbier suant sous les étoiles Hier c’était ma terre et ton eau qui l'enroule J’ai tant hissé la mer au brisant sous ta voile… J’ai tant gommé le chiffre à l' horloge du tendre Les chemins sous tes robes à perte d'océan L’alphabet dans un cri son palais pour me pendre Dans l’orbe des dérives aux courbes de l’orient Aux nymphes de la mer et des liaisons macabres Le squelette d'un chant l’affres de tombes molles Aux veilles de ses chairs au verbe qui s’incarne Quand s’aiguise sa lame où figure un seul port
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L pour zz qui s'amuse bien je crois !
| Envoyé jeudi 16 juin 2005 - 23h26: | |
...ben... finalement... hormis "à perte d'océan" ... oserai-je dire que ... je préfère de loin la version précédente ... probablement parce que la strophe ajoutée ne me parle pas ou plutôt que je ne la comprends pas ! Lumière lumière ! |
   
ZZ
| Envoyé vendredi 17 juin 2005 - 00h25: | |
Tant pis moi quand je joue je joue Félibre... T’ai-je rêvé mer… Hier Mon Amour.... Après les ponts de pierres usées comme un vitrail Les cardigans de chaume à l’âme ruisselante Sous l’arc jaillissant des échos de Ferré Je me suis assis là articulant sa vague… Hier avec un rêve et ses gosiers de houle Son ciel de barbier suant sous les étoiles Hier c’était ma terre et ton eau qui l'enroule J’ai tant hissé la mer au brisant sous ta voile… J’ai tant gommé le chiffre à l' horloge du tendre Les chemins sous tes robes à perte d'océan L’alphabet dans un cri son palais pour me pendre Dans l’orbe des dérives aux courbes de l’orient Aux nymphes de la mer et des liaisons macabres Le squelette d'un chant l’affres de tombes molles Aux veilles de ses chairs au verbe qui s’incarne Quand s’aiguise sa lame où figure la mort A mes « cessé de vivre » au livre mortuaire Au bistouri d'un ciel qui me fait la rumba Violonant sans violon philosophant la mer Demain je serai Sarthe Stendhal et Spinoza Pour quand je serais fou pour quand je serais con Je serai con de toi Pour quand tu seras folle embarquée dans son vers Demain nous serons ça Nous serons Elle et Nous Toi tu seras la mer Et moi je serai toi |
   
nouveau dé-lyre
| Envoyé vendredi 17 juin 2005 - 01h28: | |
Je t'ai rêvé fait libre de vers en vers canaille les nymphes mortuaires valsant sur la mer aux violons de l'âme ou de lames enfuies je t'ai rêvé de mer ou de mère ou de bruine un rêve à en crever des fleuves impassibles des peaux rouges criards et des singes hurleurs
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zz
| Envoyé vendredi 17 juin 2005 - 06h49: | |
Tricheur -des peaux rouges criards- c'est pas un truc de Dauminique Verlayn le chanteur ? |
   
idem
| Envoyé vendredi 17 juin 2005 - 10h04: | |
(:-))) ...ça dépend s'il est ivre ou non et s'il aime la mer ! |
   
Post S.
| Envoyé vendredi 17 juin 2005 - 14h33: | |
...la mer "comme une vitre d'eau " : de qui, déjà ? Ma mémoire me trahit ! |
   
w
| Envoyé vendredi 17 juin 2005 - 15h39: | |
c'est le même que celui qui a "gommé les chiffres à l'horloge du quartier?" |
   
JG
| Envoyé vendredi 17 juin 2005 - 16h44: | |
Allez vous faire encouler sales cons et sales connes de merde |
   
???????????
| Envoyé vendredi 17 juin 2005 - 21h47: | |
??????????????????????????????????????????? |