| Auteur | Message | ||
     JG |
Faut voir comme ça s’affronte, dans les élans… A coup de langue, la même que la sienne, et non des moindres… De quoi s’écrire, comme on se livre… Absent de nom, au nom rien et des non dit… Aux noms passés sur des paroles, et à l’absence de nos visages… De quoi se revêtir, se sapé de semblant, planqué sous l’imposture, sous des verbes dansants, qui s’inventent des pas… Un cortège exigences, invisible à chacun, regardant que nous-même ; d’amour et peut-être de haine, la même que la sienne, sous l’œil de l’apparat… | ||
| Hélène (Hélène) |
se sapé de semblant, planqué sous l’imposture, sous des verbes dansants, qui s’inventent des pas… hé JG je me permets de corriger saper ici c'est l'infinitif Oui, mais pas il me semble sur la palce des francophones, il y a des gens qui croient faire de la poésie juste en faisant de la danse des mots je crois qu'ils ne sont pas très solides. La poésie veut du vrai dans ses beaux atours. et c'est pour ça que c'est plutôt difficile d'en écrire quoiqu'on en dise. mais comme pour les fringues il y a les soldes (;-)) "Un cortège exigences, invisible à chacun, regardant que nous-mêmes ; d’amour et peut-être de haine, la même que la sienne, sous l’œil de l’apparat…" Nous regardant nous mêmes , tu as raison mais aussi regardant le monde, les autres, leurs joies et leurs souffrances et les rendant belles en, soignant leur "apparat " Pour qu'on entende amitiés Hélène | ||
| JG |
j'avais remarqué la faute pour saper ! Mais trop tard... Je vais aller m’faire rhabiller, avant qu’on m’taille un aut’e costard.  | ||
| Hélène (Hélène) |
Mes talents de couturière t'ont déçu ? (;-)) ne t'habille pas trop par cette chaleur ! je t'envoie une tite bière . | ||
| JG |
je ne bois pas l'alcool! (enfin plus, depuis Bernard) mais c'est gentil quand même ! Merci Hélène |