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JG
| Envoyé samedi 18 juin 2005 - 10h39: | |
Après les ponts de pierres usées comme un vitrail Les cardigans de chaume à l’âme ruisselante Sous l’arc jaillissant des échos de Ferré Je me suis assis là articulant sa vague… Hier avec un rêve et ses gosiers de houle Son ciel de barbier suant sous les étoiles Hier c’était ma terre et ton eau qui l'enroule J’ai tant hissé la mer au brisant sous ta voile… J’ai tant réduit le chiffre à l'algèbre du tendre Les chemins sous tes robes à perte d'océan L’alphabet dans un cri son palais pour me pendre Dans l’orbe des dérives aux courbes de l’orient Aux nymphes de la mer et des liaisons macabres Le squelette d'un chant l’affres de tombes molles Aux veilles de ses chairs au verbe qui s’incarne Quand s’aiguise sa lame où figure la mort A mes « cessé de vivre » au livre mortuaire Au bistouri d'un ciel qui me fait la rumba Violonant sans violon philosophant la mer Demain je serai Sarthe Stendhal et Spinoza Lorsque je serais fou lorsque je serais con Je serai con de toi Pour quand tu seras folle embarquée dans mon vers Demain nous serons ça Nous serons Elle et Nous Toi tu seras la mer Et moi je serai toi
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LibéLOL
| Envoyé mercredi 22 juin 2005 - 22h54: | |
j'ai bien du mal à mettre les philozophes en bateau à part peut-être Queneau les autres je les laisserais à taire (;-o)) |
   
fil au zof ?
| Envoyé samedi 25 juin 2005 - 23h00: | |
mais pourquoi "Sarthe" ? même en philosophant à fond ou en dérivant dans un pot de rillettes, Le Mans ça fait encore assez loin de la mer ...
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JG
| Envoyé samedi 25 juin 2005 - 23h38: | |
Et ça fait quoi de réflèchir sur la diférence, telle d'avoir été Sarthe, Décartes ou un plombier con, une fois mort? Ca ne fait pas de toi un nouvel Estein ! Si ? |
   
JG
| Envoyé samedi 25 juin 2005 - 23h39: | |
zut "Einstein" |
   
JG
| Envoyé samedi 25 juin 2005 - 23h45: | |
Pis "A mes « cessé de vivre » au livre mortuaire" c'est pas écrit pour faire joli |
   
Rob
| Envoyé dimanche 26 juin 2005 - 01h53: | |
C'est qui ce Sharte ? |
   
Marcel
| Envoyé dimanche 26 juin 2005 - 04h03: | |
Sarthre c'est un fumiste de première, un philosophe aux mains sales parce qu'il n'a plus de papier toilette. |
   
René 1596-1650
| Envoyé dimanche 26 juin 2005 - 10h55: | |
Décartes ? le plombier ? alors je vois, il doit s'agir de Gérard Décartes! ah! celui-là, toujours à discourir sur la Méthode pour bien riveter la Raison d'éviter les fuites en avant. mais je croyais qu'il était d'Indre et Loire. |
   
JG
| Envoyé dimanche 26 juin 2005 - 11h05: | |
C'est pas le mot mans rod! Qu'est-ce que dit c'lexique ? Et qu'est que j'ai été écrire Sartre Sarthe... |
   
JG
| Envoyé dimanche 26 juin 2005 - 11h12: | |
Être vu. La fuite du monde (au sens où le plombier parle d'une fuite) peut toujours être colmatée et localisée. Si je saisis autrui comme objet, un quelque chose de plein et de saisissable, je peux toujours, même atteint dans mon intégrité territoriale, réintégrer l'autre dans un effort de recentrage perpétuel, un peu comme le funambule sur son fil est en situation de perpétuel rééquilibrage grâce à son balancier. Mais l'autre est aussi regard qui juge. Sarte |
   
JG
| Envoyé dimanche 26 juin 2005 - 11h13: | |
putain ces "r" rrrrrrrrrrrrrrr |
   
Marcel
| Envoyé dimanche 26 juin 2005 - 18h47: | |
J'ten foutrais moi des rrrrrrrrrrr |
   
JG
| Envoyé dimanche 26 juin 2005 - 19h40: | |
Ma.cel a..êtes ça tout d'suite |