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philippe Bray
| Envoyé mardi 26 juillet 2005 - 21h29: | |
1 Dans le sein d'argenteuil, la ville populaire sans art, rend l'artiste fort aigri en passant. Des autres lieux, ailleurs, et sans aucune terre provoqueraient idem dans ses pas, en marchant. Celui ayant rien vu, là, ne peut ressentir la matière froide que perçoit le poète ; la rose est son amie, du mitan avenir, comme tous les hommes ayant vu maintes bêtes. 2 Allant de ville à mer, sur cette seine, fleuve de Paris à Honfleur, les gréments gonflent flancs le temps de quelques jours ; même sans vent abreuvent l' âme du poète venu, se dévoillant. Un coeur en hiver, lors, est un arbre sans sève, une eau de mer allant de la Seine au pays. De cités à la mer, le fleuve Paris rêve, les vieux bateaux d'Honfleur sortent voiles pardis ! dans le temps des heures ; armada des trois mats ; ses goelettes ci sont des bateaux de guerres. Rouen saigné à blanc pour un fort pieu combat. Ses noms de navires sont un nom de Corsaire. la liberté de même est un bucher anglais de voix entendues, lues, d'une femme française. Dans l'ardeur des cités vit un jardin, je vais ; les fleurs auprès des fruits sont des parfums de fraises. D'urbanité en mer, sur cette seine, fleuve, de Paris à Honfleur, les gréments gonflent flancs le temps de quelques jours ; le romantisme abreuve. Est-ce l'évolution du temps passant aux bancs ? http://philippebray.over-blog.com
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philippe Bray
| Envoyé mardi 26 juillet 2005 - 21h45: | |
1 Dans le sein d'Argenteuil, la ville populaire sans art, rend l'artiste fort aigri en passant. Des autres lieux, ailleurs, et sans aucune terre provoqueraient idem dans ses pas, en marchant. Celui n'ayant rien vu, là, ne peut ressentir la matière froide que perçoit le poète ; la rose est son amie, du mitan avenir, comme tous les hommes ayant vu maintes bêtes. 2 Allant de ville à mer, sur cette seine, fleuve de Paris à Honfleur, les gréments gonflent flancs, le temps de quelques jours ; même sans vent abreuvent l' âme du poète venu, se dévoilant. Un coeur en hiver, lors, est un arbre sans sève, une eau de mer allant de la Seine au pays. De cités à la mer, le fleuve Paris rêve, les vieux bateaux d'Honfleur sortent voiles pardis ! dans le temps des heures ; armada des trois mâts ; ces goelettes-ci sont des bateaux de guerres. Rouen saigné à blanc pour un fort pieux combat. Ses noms de navires sont un nom de Corsaire. la liberté de même est un bûcher anglais de voix entendues, lues, d'une femme française. Dans l'ardeur des cités vit un jardin, je vais ; les fleurs auprès des fruits sont des parfums de fraises. D'urbanité en mer, sur cette seine, fleuve, de Paris à Honfleur, les gréments gonflent flancs le temps des jours passés ; le romantisme abreuve. Est-ce l'évolution du temps passant aux bancs ? |
Kel
| Envoyé mardi 26 juillet 2005 - 21h45: | |
Cest pas terrible, philippe, tu peux mieux faire (mets de l'émotion) |
Kel
| Envoyé mardi 26 juillet 2005 - 21h47: | |
Enfin, du toi même, je veux dire |
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