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philippe Bray
| Envoyé samedi 06 août 2005 - 14h44: | |
Mort doucement bleuté, tel non-être paraît, Novalis, poète à la mort, appaisante . Vie aux rayons jaunes, tel une lumière, est. De vigny ; poète à la vie, reposante. Je vois bleu en jaune, du front éclaire, don ; sempiternel conte de l'oubli du livre, du livre du rire. J'enjambe petit pont. Les rivières coulent dessous ; encor vivre, j'ai. Ses cheveux poussès, aimer qu'elle les laisse, Dans l'écorce à l'arbre, un coeur à corolle, dans le maillot de corps, un trou au coeur blesse. Au bonheur, à la joie lors, en moi, j'ai vécu, Nul être s'en souvient, s'en souviendra à nu. A tire-d'aile, l'oiseau s'en va et s'envole. http://www.philippebray.net
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