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66 zone franche - Le forum de Francopolis » Textes » A R C H I V E S » Les textes du 01.04.2005 au 31.08.2005 » Le dernier loup « précédent Suivant »

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Athor
Envoyé dimanche 14 août 2005 - 16h06:   

Quelques raisons t’emportent au gré de l’inconscience
Ta Plume d’oiseau pluie comme une feuille d’eau
Tes courants de douceur ruisselant d’impatience
Où cent mille arbres morts bandent un air de statue
Dans tes mots sous l’écorce
Pétillant d’abondance
Tes crayons de douleurs
Que le temps atténue
Ces pensées dans ton vers d’anaphores dormantes
A ton sang d’encre bleue de saisons sans couleurs
Sous ton masque au présent où ton verbe s’évente
Comme un loup va bêlant moutonné d’écriture
Quand ton rêve a bien bu d’inhumaines folies
D’un mutant chatoyant accroché au décor
Dans tes mots de géant éclatants du Génie
Quand se pointent à la nuit
Les reflets de ton cœur
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Athor
Envoyé lundi 15 août 2005 - 16h07:   

On la refait comme d'hab!!!

Quelques raisons t’emportent au gré de l’inconscience
Ta Plume d’oiseau pluie comme une feuille d’eau
Tes courants de douceur ruisselant de patience
Où cent mille arbres morts bandent un air de statue

Dans tes mots sous l’écorce
Pétillant d’abondance
Tes crayons de douleurs
Que le temps atténue

Ces pensées dans ton vers d’anaphores dormantes
A ton sang d’encre bleue de saisons sans couleurs

Sous ton masque au présent où ton verbe s’évente
Comme un loup va bêlant moutonné d’écriture
Quand ton rêve a bien bu d’inhumaines folies
D’un mutant chatoyant accroché au décor

Aux guéables étangs sur l’étale du temps
Où ton pas va craquant
Au miroir de l’ennui

Dans tes mots de géant éclatants du talent
Quand se pointent à la nuit
Les reflets de ta vie

Quand l’écrit de ton cri sous un ciel d’infini
Dans les yeux d’une fille prend l’accent du bonheur
Quand l’hiver vient se pendre aux matins de septembre
Sous ton arbre qui pleure
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Lilas
Envoyé mardi 16 août 2005 - 20h46:   

Magnifiquement dit ! ...Vos vers frappent fort. Toutefois, si vous permettez, cette seconde fin laisse une impression d'inachevé un peu décevante.

Un passage dont l'harmonie est gâchée par la liaison et les 13 syllabes :
"Où cent mille arbres morts bandent un air de statue" Ban/den/t-un/ air de .... (cf le contexte d'alexandrins).

J'aimerais avoir l'avis de plusieurs écrivants ou écrivains sur le sort qu'ils réservent, lors de la diction, à ce type de liaison, en général. J'avoue quant à moi prendre souvent le contrepied des règles en la matière, pour une autre musique, plus contemporaine. A la mise en voix, cela "passe" pas mal . Mais ce n'est pas facile en fait. Affaire de contexte prosodique et sémantique.

Si des enfants de Léon lisent ce courriel ...
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Athor
Envoyé mardi 16 août 2005 - 21h42:   

Merci m'dam Lilas... Pour moi un texte n'est jaimais vraiment terminé... P-ê y reviendrais-je, demain ou dans un mois, dans un an ou une heure! Qui sait(?)

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