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Athor
| Envoyé mardi 16 août 2005 - 23h54: | |
Je te garde... Je suis de ces comas dans un ventre d'artiste Quand pousse une clameur aux silences pour deux La froidure de l'âge où rôdent ses touristes Pour y plonger mon ombre et t’y noyer un peu… A toi ... la diamantaire aux pierres qui s’essoufflent J'ai tant couru vers toi… mes phases immatures Mon âme est un désert et j'y puise ton eau Entends ! Même les puits me pleurent ton murmure Les spectres indécents peuvent rire de moi J’en aurais fait le tour des nuits qui me ressemblent Ces nuits comme des jours qu’un souvenir m’envoie L'absence comme un cri un oubli qui me tremble A me coller des songes au bord de tes mirages Cet autre bout de tout quand je joue... 'si je meurs ' Quand je me fais fantôme à l'ombre de ta page Comme une pierre tombale aux larmes qui m’effleurent Avec cet infini qui me règle ses comptes Cette ère… Halluciné... Oui cet infini là ! Ces bouts de solitude où meurent des amantes Tes mots qui me collaient ... Qu'un rêve n’entend pas Ces hiers en ciment bâtissant l’autre monde Ton ventre où m’allonger ta galaxie d’aimer Cet amour et puis toi messagère à la ronde Charriant des étoiles occultées d'un secret Je te garde l’espace au vide de ma terre Toi ma fleur(e) lunaire épousée pour longtemps L’astre de tes baisers sous marinant la mer Entre mars et vénus l’âme d’un continent J’ai mis du rêve au chaud des ailes à mon parnasse Ton élixir au frais un ciel plein tes rayons Un refuge à ton île et du temps si tu passes Musiquant des buvards boire dans ma chanson |
Jordy
| Envoyé jeudi 18 août 2005 - 22h07: | |
Jacques, je ne connais personne qui fasse autant dans le style Ferré que toi! C'est proprement hallucinant...et exagéré!Ca ne te passera jamais? "à toi", ça appartient à Léo. "J’ai mis du rêve au chaud des ailes à mon parnasse " Ca me dit quelque chose, ça. Pas exactement dans les termes, mais j'ai vu un trux très très proche chez Léo. Faudrait que Rob (l'hyper spécialiste Ferréiste) passe par là, mais pour le moment, ça m'étonnerait.
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JG
| Envoyé jeudi 18 août 2005 - 23h39: | |
Georges, tu ne trouves pas que tu exagères cette fois avec "à toi" pis le "j'ai mis du rêve au chaud des ailes à mon parnasse" j'aimerais bien que l'on me dise qui l'a écrit avant moi... Moi sans doute ! Puisque c'est toi il y a 3 semaines qui m'avais invité à remplacer " j'ai mis ton ix au chaud, des ailes à mon parnasse" Ceci dit, le texte est écrit avec la musique de Ferré en effet '( plus dans la tête qu'en écoute réelle)... Quant au texte excuse moi, mais là, y'a rien de lui ! |
JG
| Envoyé jeudi 18 août 2005 - 23h48: | |
zut j'y pense! Pour le "à toi"; je l'ai remplacé de "Tu es" lors de la fusion des deux textes... texte I/ "Tu es la diamantaire aux pierres qui s’essoufflent" TextesII/ "A toi... la diamantaire aux pierres qui s’essoufflent" |
JG
| Envoyé jeudi 18 août 2005 - 23h56: | |
dernière nouvelle : rien sur google... Sauf un type sur un forum nommé "retraite active" |
pour JG
| Envoyé dimanche 21 août 2005 - 21h27: | |
...bizarre le forum dont vous parlez! Je l'ai découvert en cherchant sur Google l'origine de vers féréens féériques, et je n'y ai trouvé pour l'instant que des passants qui trouvent "jolis" des textes magnifiques -qui passent sans doute à des kms de leurs rêves ?- . Et j'ai trouvé très chouette d'offrir des roses à ceux qui en ignorent le parfum . Un jour peut-être ... (lilas) |