| Auteur | Message | ||
     philippe Bray |
A la mélodia nue de l'harmonia mundi, un grand front au soleil reprend la symphonie, je me joins à l'astre près de l'arbre à l'abris. à la cascade là, aux branches éclaircies. J'ai chanté autrefois, sur mes airs d'aujourd'hui. Au desespoir toujours, un vrai espoir en vue. Wolfgang Mozart, printemps, la musique de nuit. De la joie dans le coeur, la tristesse revue. Cui cui le roitelet, la clochette sonnante. En des fines gouttes, l'eau mouille les carreaux aux rêves nocturnes de ces heures présentes. Vers l'horizon dormant, sur l'eau est une idylle, Je scrupte l' océan, j'aperçois des bateaux ; du sud dans le nord ouest, dans la mer est une île ! http://www.philippebray.net |