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Elle
| Envoyé samedi 20 août 2005 - 22h01: | |
...et ta main comme une abeille me donnerait un peu de miel la tendresse des peupliers douce la barque du repos me bercerait près d'une rive Mais pourquoi l'eau est-elle si claire dans tes yeux vifs qui ne me voient Lächez les mains et les colombes la liberté ne les retient non plus la vie ni le destin Les pierres veillent les coeurs s'envolent
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ali
| Envoyé dimanche 21 août 2005 - 15h55: | |
tout est beau sauf"les coeurs s'envolent" |
Cécile
| Envoyé dimanche 21 août 2005 - 19h30: | |
oui il y a beaucoup de sensibilité. Peut être quelques passages à revoir, peut être... comme : douce la barque du repos (repos et douce : un peu redondant) dans tes yeux vifs qui ne me voient (ne me voient : ça fait bizarre lu à haute voix) non plus la vie ni le destin (ex : ni même la vie ni le destin)
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Pour Cécile et Ali
| Envoyé mardi 23 août 2005 - 01h46: | |
Coucou Cécile et Ali ! Ali, j'en ai besoin de ce vers : il donne le sens du poème ! je vais essayer moins de banalité ! Cécile : pour les deux dernières remarques, je crois que c'est le côté trop "désuet" du style de ces passages qui te gêne. Votre lecture m'est précieuse et me rappelle certaines limites. Merci ! ( Lilas) |