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nao
| Envoyé jeudi 25 août 2005 - 13h55: | |
Centimes éparpillées dans un crépuscule d‘été Désirant le matin profondément, Mais s’accrochant au soir si beau Sachant que la fosse entre les deux est inconnu Amoureux du noir comme on l’est d’un pinceau Mystérieuse, immense poésie dramatique Craignant la douleur d’un rêve dormant dans l’eau Nervure rouge mais douce du drame poétique Toile blanche de la nuit, épure à peindre tous les soir De couleurs surprises dans leur sommeil Par un somnambule aux yeux ouvert sur le ciel Insondable profondeur entre la mort et l’espoir |
   
Arno
| Envoyé jeudi 25 août 2005 - 16h25: | |
Du jour au lendemain... comme une toile à réinventer chaque fois, c'est très beau. |
   
Hélène
| Envoyé jeudi 25 août 2005 - 16h43: | |
nao j'ai du te lire sur poésie org ? il y a pas mal de temps. "Amoureux du noir comme on l’est d’un pinceau j'aime ce passage qui je ne sais pourquoi me laise imaginer un peintre japonais qui tremperait sa plume dans la nuit
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nao
| Envoyé jeudi 25 août 2005 - 17h10: | |
Merci de vos remarques ! Oui, on s'est croisé sur ce site Helene, Pourquoi n'y vient tu plus? J'ai d'ailleurs découvert celui-ci grâce à tes inteventions sur poesie.org
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Hélène
| Envoyé jeudi 25 août 2005 - 17h36: | |
je n'ai plus trop de temps. je participe à pas mal de choses ici. et j'écris moins. sinon poesie org a aussi une ambiance calme qui me plait beaucoup j'espère que tu reviendras partager tes textes peut on te lire aussi sur un site ou un blog? je me souviens que nous avions quelques sympathies poétiques je laisse mon adresse mail à cliquer si tu veux me dire ce qui te plait sur francopolis les commentaires aident à progresser amitiés
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nao
| Envoyé jeudi 25 août 2005 - 18h05: | |
Merci Helene en ce moment je n'ai plus internet je ne peut m'y rendre qu'a mon travail et donc sporadiquement, je n'ai pas eu le temps d'écumer ce site mais je le ferai avec plaisir et te ferai part de mes impressions, pour l'instant j'ai déjà pu remarquer qu'il était assez fréquenté (c'est bien de s'appercevoir qu'il y a du monde qui s'intéresse à la poésie et donc beaucoup de possibilité d'échanger et de découvrir), moi je n'ai malheureusement pas de site ou de page perso, mes connaissances informatique sont trop faible et je manque de temps. En tout cas même si je ne le connaît encore pas beaucoup, bravo pour ton site amitiés et à bientôt (je rentre ma journée se termine) |
   
Pour Nao
| Envoyé vendredi 26 août 2005 - 18h07: | |
"Amoureux du noir comme on l’est d’un pinceau Mystérieuse, immense poésie dramatique Craignant la douleur d’un rêve dormant dans l’eau Nervure rouge mais douce du drame poétique Toile blanche de la nuit, épure à peindre tous les soirs De couleurs surprises dans leur sommeil Par un somnambule aux yeux ouverts sur le ciel Insondable profondeur entre la mort et l’espoir" Ces deux strophes sont vraiment inspirées, magnifiques. La première, dont j'apprécie l'idée, tellement mieux exprimée dans la troisième str.en particulier (Insondable profondeur entre la mort et l’espoir...), me semble inutilement alourdie de participes présents. Peut-être qu'un présent ? ... Le mot "épure " a de belles connotations dues à la phonétique, mais son sens convient-il ? (un peintre pourrait-il donner son avis ? ) Merci pour ce beau moment de poésie ! (Lilas) |