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66 zone franche - Le forum de Francopolis » Textes » A R C H I V E S » Les textes du 01.09.2005 au 28.02.2006 » Le poème « précédent Suivant »

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mohand
Envoyé vendredi 23 septembre 2005 - 18h47:   

Le poème est une saison ...
Un siècle...
un gorgée d'instants
qui va au-delà de la durée
En deçà d'un clin d'oeil
Puis s'étire
Puis délire
Couleur de marbre
Senteur d'ambre
il se mêle à la vie
il se mêle de la vie.
Il fait vibrer les silences
Rétrécir les distances
Et semer les mutismes
De bruits assourdissants

Le poème est une saison...
Qui meurt et qui vit
Qui vient puis repart
Sur les chemins de passage
Il dessine sur le sable
Les visages de l'âge
Qu'une vague,
Au gré des vents du rivage,
Vient colorier d'oublis.
Le jaune y menace les gerbes du sourire
Le noir y ressuscite la mort des mots
Le blanc y laisse l'empreinte de l'indicible
le poème est parfois impossible
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Hélène
Envoyé samedi 24 septembre 2005 - 11h18:   

Le poème est
un gorgée d'instants

Puis s'étire
délire

il se mêle à la vie
se mêle de la vie.

fait vibrer les silences

semer les mutismes
De bruits assourdissants

Il dessine sur le sable
Les visages de l'âge
Qu'une vague,
,
Vient colorier d'oublis.

le poème est parfois impossible

et quand il l'est il nous obsède de son silence.
le poème est l'ami qui quand il le veut bien nous guérit de l'angoisse atténue les joies trop fortes
il nous parle de nous et vient de nous
quand on l'entend on ferme les yeux de bien être

et quand on lit ceux d'un autre être on se retrouve parfois
les poèmes se rencontrent deviennent alors amis
voilà ce que j'ai entendu de ton poème profond Mohand
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Babouche
Envoyé samedi 24 septembre 2005 - 17h36:   

Je poème bleu de vague en rouleau de destin vers l’inconnu rivage que dessine l’éponyme lueur.

Tu poèmes rouge feu en lave magmatique à durcir au silence d’une neige coton. Un petit chat tigré vient me lécher la main.

Il poème gris de pluie fine maquillage coulé nez de clown pommette blanche c’est pourquoi j’aime à renifler l’heure.

Nous poetpoetons
Vous poetpoetez

Ils poetent tous en pastels acidulés je viens danser petite sœur au chaud de nos manteaux de mots l’hiver flirte avec la sève engorgée au tronc du chêne.

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