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Fopoêt
| Envoyé dimanche 25 septembre 2005 - 09h39: | |
Je suis de ces comas dans un ventre d'artiste Quand pousse une clameur aux silences pour deux La froidure de l'âge où rôdent ses touristes Pour y plonger mon ombre et t’y noyer un peu… A toi ... la diamantaire aux pierres qui s’essoufflent J'ai tant couru vers toi… mes phases immatures Mon âme est un désert et j'y puise ton eau Entends ! Même les puits me pleurent ton murmure Les spectres indécents peuvent rire de moi J’en aurais fait le tour des nuits qui me ressemblent Ces nuits comme des jours qu’un souvenir m’envoie L'absence comme un cri un oubli qui me tremble A me coller des songes au bord de tes mirages Cet autre bout de tout quand je joue... "si je meurs " Quand je me fais fantôme à l'ombre de ta page Comme une pierre tombale aux larmes qui m’effleurent Avec cet infini qui me règle ses comptes Cette ère… Halluciné... Oui cet infini là ! Ces bouts de solitude où meurent des amantes Tes mots qui me collaient ... Qu'un rêve n’entend pas Ces hiers en ciment bâtissant l’autre monde Ton ventre où m’allonger ta galaxie d’aimer Cet amour et puis toi messagère à la ronde Charriant des étoiles occultées d'un secret Je te garde l’espace au vide de ma terre Toi ma fleur(e) lunaire épousée pour longtemps L’astre de tes baisers sous marinant la mer Entre mars et vénus l’âme d’un continent J’ai mis du rêve au chaud des ailes à mon parnasse Ton élixir au frais un ciel plein tes rayons Un refuge à ton île et du temps si tu passes Musiquant des buvards boire dans ma chanson |
   
Babouche
| Envoyé dimanche 25 septembre 2005 - 10h59: | |
J’entends la mélodie de la source jaillissante Le clapot des grenouilles qui demandent à voir Les lentilles d’eau douces qui frétillent du ventre A l’appel de l’anguille qui passe dans le soir. J’aimerais te donner du calme ô batelier Recouvrir de limon la tourbe de tes marais Pour que de tes racines tu puisses encore puiser Les appels diamants vers ton éternité.
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Kel
| Envoyé dimanche 25 septembre 2005 - 13h49: | |
J'écoute la musique sortie légère des mots magnifiques |