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philippe Bray
| Envoyé mercredi 28 septembre 2005 - 22h39: | |
Sur ce banc, nous nous sommes assis. Au-dessus de la maison, nous regardions la lune. C’est un jour plein, un jour de pleine lune. À d’autres soirées, nous sommes revenus à la même heure ; des fins nuages comme un voile la cachaient. Tu me disais qu’elle était sans importance, je te disais qu’elle brillait tandis que j’écrivais un poème inspiré des étoiles. Attaché à ton passé, tu as rencontré mon présent. Nous voulions simplement vivre pour l’oublier mais il nous a rattrapé ; à ce jour d'automne où les feuilles sont encore vertes, je suis dans mon passé et je le revois comme hier ; demain, sur un autre banc, face à la mer, un soleil se levera et fera des confidences pour l'éclairer d'un nouveau regard. Philippe www.philippebray.net |
   
JG
| Envoyé mercredi 28 septembre 2005 - 23h44: | |
Tu veux que je te dise ? Non ! Bon ! Tant mieux ! |
   
à Philippe B
| Envoyé jeudi 29 septembre 2005 - 09h58: | |
"Tu me disais qu’elle était sans importance, je te disais qu’elle brillait" la vie prend les couleurs de notre humeur et nous la voyons différente même quand nous sommes proches l'un de l'autre garde ce texte et retravaille le un peu l'idée est intéressante hélène
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philippe Bray
| Envoyé jeudi 29 septembre 2005 - 19h14: | |
Je l'aime bien ce texte, oui. Pour l'instant, j'ai rien envie de changer. Il exprime bien ma pensée au moment où je l'ai écrit. Demain ou après demain, j'écrirais un autre poème et je l'oublierais. Je le reprendrais quand je voudrais en faire un recueil avec quelques autres déjà écrits ou que j'aurais écrit entre temps. Si vous l'avez aimé tant mieux, si vous ne l'avez pas aimé tanpis.
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à ¨pHilippe B
| Envoyé jeudi 29 septembre 2005 - 19h21: | |
hihi les deux mon capitaine. |
   
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| Envoyé vendredi 10 mars 2006 - 00h24: | |
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