| Auteur | Message | ||
     philippe Bray |
A cet automne préparant le printemps, à l'ombre du soleil, dans l'allant du vent, la tristesse soudaine alterne à la joie, j'expose ma nudité ; dans la goutte d'eau est le berceau du monde, dans le flocon de neige est la vraie beauté. A la face cachée de la lune, le soleil est présent, je prends le temps, qu'il me donne pour donner un peu d'amour, en vue de percer le mystère ; Les écritures ont témoigné, mais, en elles, je ne cherche rien ; rien, au monde, ne m'indiffère, je suis dans le monde parmi les gens ; ils se tiennent la main ou se font la guerre dans leur tête échauffée. philippe www.philippebray.net | ||
| pour Philippe |
"rien, au monde, ne m'indiffère, je suis dans le monde parmi les gens" Deux vers bien sympathiques . A la fois facile et difficile à vivre ... Peut-on être un être sans être (sic) étrange ? (lilas) | ||
| philippe Bray |
Lilas, oui le monde dans mon esprit est le monde de la nature sans les hommes. les gens sont les humains qui se sont "civilisés" dans le monde donc je suis une homme "civilisé" parmi les gens dans le monde. c'est ce que j'ai voulu exprimer. C'est plus clair ? | ||
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