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eric dubois
| Envoyé lundi 25 août 2003 - 22h04: | |
IMPRO Des traces de talc de maquillage abstrait de poudre d’escampette que sur la nuit s’étend Le souffle des esprits tombent sur l’asphalte mais la nuit efface au lever du jour le souffle mille fois indécis des voix des geysers radio notes intimes du chaos pinceaux du diable qui osent sur le maquillage abstrait poser comme des brûlures Des cicatrices des traces de talc prophétiques c’est l’impro scandée dans des bals Où le hasard enivre des couples timides cavaliers de l’ordre d’une chevalerie clandestine Parmi les embruns et le strass de maquillage abstrait le poète s’arme de mots de maquillage abstrait comme le musicien l’instrument de sa perdition JUIN 2003- INEDIT ERIC DUBOIS
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