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Message |
   
jml
| Envoyé vendredi 29 août 2003 - 17h17: | |
LA LIE Quand je te perds de vue Le fond de chaque chose Remonte par les yeux Et brouille le regard Comme une lie d'absence. Le vent même s'écrase Sur les falaises du corps. L'oiseau vole si bas On peut voir ses larmes Et toucher sa blessure.
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Aglaé
| Envoyé vendredi 29 août 2003 - 17h33: | |
jml Je me permets: "On voit couler ses larmes" Plutôt que: "On peut voir ses larmes" Il me semble que la musique est meilleure...mais je n'ai pas une grande compétence...Bises. Aglaé |
   
jean-pierre
| Envoyé vendredi 29 août 2003 - 17h52: | |
la lie...... c'est la couleur de fond "voir jusqu'à la lie" n'est pas conseillé ;-) |
   
Elisa Aguirre
| Envoyé dimanche 31 août 2003 - 14h19: | |
Je savais bien que je te trouverais là, Jean Pierre, j'aime bien ton poème, mais probablement, Aglaé a raison. |
   
jean-Pierre
| Envoyé dimanche 31 août 2003 - 14h44: | |
PSSSSSIIIIITTTTTTTT.....Elisa..... le texte est de jml, Pas de moi!!!!! |
   
eric dubois
| Envoyé dimanche 31 août 2003 - 15h12: | |
beau texte efficace |
   
eric dubois poète slameur
| Envoyé dimanche 31 août 2003 - 15h13: | |
j'aime bien "on peut voir ses larmes et toucher sa blessure" |
   
Elisa Aguirre
| Envoyé dimanche 31 août 2003 - 18h22: | |
Excuse, JP, mais il y en a de très beaux de toi par la suite, entre autres celui que tu as mis sur le forum d'ecrits-vains, la poiscaille, j'aime fort. |