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Message |
   
JG
| Envoyé dimanche 31 août 2003 - 17h45: | |
Il est si bon parfois, de se faire des peurs, à ne savoir que dire… Effleurant de ses ongles, aux sources d'un ailleurs, la superbe d'un rien. Parfois d'autres beautés, un envers de soi-même, juste haut dessus des phrases, qui tardent à venir… Le beau d'un petit rien, les matins retournés, dans la brume qui pousse En phrases bâties de mots, en forme de bateau… La superbe d'un rien, supposant la falaise, la mer et puis les voiles, touchant l'autre coté Il est si bon parfois. de se faire des peurs A chercher dans sa tête, les pages non écrites, ses armes contre nuit A se chercher des vagues, qu'on creuse et que l'on vante Au vague qui s'emmêle Aux couleurs d'une nuit Jusqu'à tomber de haut de son alpe céleste Et se réveiller mort de l'avoir tant rêvé Il est si bon parfois, de se faire des peurs,, à ne savoir que dire… Effleurant de ses ongles, aux sources d'un ailleurs, la superbe des mots en échange de rien
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Mary
| Envoyé lundi 01 septembre 2003 - 20h57: | |
Votre peur est grandiose métaphysique le mien c'est un petit travailleur avec son porte-documents |
   
JG
| Envoyé lundi 01 septembre 2003 - 22h40: | |
Je n’ai pas bien compris merci de vous être arrêté |
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