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66 zone franche - Le forum de Francopolis » Textes » A R C H I V E S » Les textes du 01.09.2005 au 28.02.2006 » Comme toi « précédent Suivant »

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invigene
Envoyé vendredi 03 février 2006 - 21h22:   

comme toi

écrire écrire
rire rire

enfant sourd ris ris

enfin libère
des fractures des facts

grille
pose
souture
abaisse
mon abesse
m'attendre
ma tendre

un verre d'eau
parce que ta main tremble
toute froissée
qu'a perdu la raison

frappe
happe
tiens
je déchire mes idylles
prends une invite
si gratuite

une goutte de pluie
quand l'hiver te ressemble
sur la vitre blanchie
qui est là à t’écrire

éclaire l'âge
knock on nocture
on the door

comme toi
dans le gris d’une rue
sous la lampe
assortie à tes nuits

débanis mon bus urine

comme je t'aime

bis sidéré raté dominé sanctus

aux pavés reluisants
dans la brume lascive
oubliée des soleils
dans un rêve mouvant

argumenter l'art qui ment

aime la jeunesse l'enfance

et du soir qui descend
au pétale arraché
de saisons et de veilles
un p'tit peu…

ah mettre admettons oui écrire
je souris aux orteils
yours again yours aïe chienne

d'un "je t'aime" pour mémoire"
tu n’sais plus…
c'est beaucoup…
à ces fleurs et au nu…

viens fouler du pieds mes os

un généré activant systèmes et tiques étiquetés à souhait

fou je crache à mon tour des morveux

tout chewing gum de barres ah si métriques

tu n’sais pas...
loin de toi
"il était une histoire"
à t’écrire

je veille
LA FEMME-FLEURS du siècle à L’AME nésique
matraque âge et effervescence

qui est là
rien qu'une heure froissée
sous la lampe
dans le ventre des nuits

astiquons
mais de gova à carrosserie brillante et soulier de princesses
beat in my brain

touk touktouk t'k'touk touk

beat in my brain

secrète porte de la terre mère
l'écrit

des citées s’offre le spectacle à farce
je tiédis ma surface brûlante de glace

pour lisser l'anathème
aux cheveux qu'ont blanchi
au jauni des saisons

comme moi

écrire non vivre oui et non
aux vents mondains des trottoirs estimables
pourquoi ablation soudaine

dormir jouir le jour pauvre et vain cul parler sang
les fleurs urbaines n’ont
ami à mort âme

orientales

gesticule écule j'ai j'acule
flash jet flash jaillit lascéré

ordinette
courte bataille de bites de port
boit
le coca sans bulle coloré
d’ailes d’oiseau au banc-crapaud

chère mère nourricière

à ces heures qu’on sème
à te lire
qui suis là
sous la lampe

fuir le néant
qui surgit griffes en avant

ne m'abandonne pas
plus faim de passion autiste
fêle assis on est
shy shame on me me seen feel

explose l'être de nullité alité

vivre et mourir en ton sein

avec toi

après
le cercueil
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le pag
Envoyé vendredi 10 février 2006 - 00h50:   

poli comme sable
au piquet de grève
poli comme miroir
étoilé de matin
poli comme stella
sur zinc de minuit
poli comme beuh
en tournée de langue


viens éclater
les matricielles bleues
à l'entrejambe de l'interstice
de mains en sueurs
ou ne sera pas


les écuelles balancent
sous le métronome
la pâtée des loups
se mange à la lune
les euphories
sont au miroir
je suis le biseau


tu respires
des poussières d'étoiles
nous perlons des colliers
de brumes
je suis la trame effilochée
du tapis magique
je vole les circonvolutions
les enroule d'orient
et brode un nuage
dans le cirage
d'une veille sans
lendemain
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invigene
Envoyé dimanche 12 février 2006 - 08h51:   

dans le gris d’une rue
pourquoi ablation soudaine

écrire écrire
en tournée de langue
quand l'hiver te ressemble
un verre d'eau

sous la lampe
aux cheveux qu'ont blanchi
dans le cirage
éclaire l'âge
yours again yours aïe chienne
des poussières d'étoiles
étoilé de matin
plus faim de passion autiste
avec toi
les matricielles bleues
astiquons
si gratuite
qui est là à t’écrire
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invigene
Envoyé dimanche 12 février 2006 - 08h53:   

je souris aux orteils
le cercueil
qu'a perdu la raison
qui est là
lendemain
d’ailes d’oiseau au banc-crapaud

sous la lampe
les matricielles bleues
qu'a perdu la raison

pose
je vole les circonvolutions

l'écrit
parce que ta main tremble


oubliée des soleils
les matricielles bleues
au pétale arraché
qui surgit griffes en avant
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invigene
Envoyé dimanche 12 février 2006 - 08h54:   

viens éclater

les matricielles bleues

grille


à ces heures qu’on sème
d’ailes d’oiseau au banc-crapaud
boit
assortie à tes nuits

comme je t'aime
matraque âge et effervescence

le coca sans bulle coloré
sous la lampe
un verre d'eau
explose l'être de nullité alité
en tournée de langue
écrire écrire
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invigene
Envoyé dimanche 12 février 2006 - 08h55:   

qui est là


ma tendre

de brumes
tu n’sais pas...
poli comme sable

qui surgit griffes en avant
à l'entrejambe de l'interstice


viens fouler du pieds mes os
chère mère nourricière

je suis la trame effilochée

éclaire l'âge

toute froissée
loin de toi
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le pag
Envoyé dimanche 12 février 2006 - 17h15:   

loin de toi


ma tendre
t'attendre me tendre

tendu
temps du dedans
tant t'entendu

entends moi
étends toi


toi delà
en ici
en je nous

je mets genoux
à l'antre
de toi


sous la lampe hallogène
timide lapée d'éclairs




et puis
puiser
l'espace du spasme
épuiser
le repos
de peaux osées

les lignes de main
se lisent de nuit
lisser
polir



une goutte de pluie
sueurs
de brumes
enroule de tout
et d'orient
assorti à tes nuits

ton sort
sur la jetée
de bites de port


je te bois de pores en pores


le jour pauvre
enlace
mes idylles

la pâtée des loups
se mange à la lune

comme toi
come to me
un verre d'eau
over the sea
in the shadow

ne m'abandonne pas
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invigene
Envoyé lundi 13 février 2006 - 00h39:   

des mots
une éclaboussure
combien de fissures
dans la genèse si pure
où insérer une vie
démence et ciel azur

plume amie
play on me
et sur ton océan de mots
l'infini pagaye
comme toi

;)
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le pag
Envoyé mardi 14 février 2006 - 06h13:   

comme toi
caresses de plume
vagues de frissons


time is free
l'infini pagaye

et les atours de coeur
aux nages des bois
grelottent les songes
coupés de verglas


dans une fumée blanche
ton visage
s'immense

démence et ciel azur


virevolte électrique sur le paratonnerre
au faîte de l'arbre nu sans âge

des mots

trois hésitations
dans un bocal de hocquets

fulgure sur la marge


des chaussons souples
un tutu en silence
danse les voiles au creuset d'envol rare

sur des entrechats masqués de loup
parle d'yeux

time is free

plume amie
play on me


;)

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