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mohand
| Envoyé dimanche 26 février 2006 - 15h48: | |
Se répandre sur soi même Tel un linceul blanc Recouvrant un cadavre, Ses espoirs accrochés aux sourcils des étoiles, Ses langueurs au soleil Au temps du "cours ou tu crèves", Ses aventures à dos des prises de tête quand la caravane en file indienne, Assoiffée, arpente la durée Puis s'éclipse et s'égrène Graffitis des temps obscurs sur un livre d'histoire. Le sablier n'égare jamais ses grains Il les récupère de travers Pour ensevelir le temps Tel un linceul blanc Recouvrant un cadavre. |
   
ali
| Envoyé dimanche 26 février 2006 - 22h47: | |
originale comparaison! belle fin on dirait un izli! |
   
Cécile
| Envoyé lundi 27 février 2006 - 21h29: | |
oui je trouve que la fin est bien vu. J'aime aussi "se répandre sur soi même" |
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