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invigene
| Envoyé dimanche 26 février 2006 - 22h15: | |
Ils parlaient hier De grandes eaux Que ton corps vibre à nouveau Petite étoile du bonheur Qui m'étreint dans le silence Et tu te réveilleras mort et ressuscité Il est déjà parti Juste se rouler de coups Pile et face, à terre Un jour la souffrance me fera connaître Du désir encore inassouvi de plaisir Tôt fumigènes Les sens Se rouer de toute eau Face aux immeubles De ta joie de ton coeur Comme porté par le soleil Où les malades d'un hôpital dansent Renaitre par être Deviennent animaux Impatience de la forme de l'esprit Impatience de la forme de l'esprit Vous me couviez |
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| Envoyé mardi 28 février 2006 - 22h52: | |
hier, encore elles me parlent les grandes eaux que ton corps vibre à nouveau petite étoile le bonheur m'étreint dans le silence te réveille mort et ressuscité déja combien de fois se rouler de corps un jour pile, face à terre la souffrance fait connaître un désir toujours inassouvi plaisirs fumigènes les sens se rouer de toute eau Faisseaux ta joie ton coeur Comme porté par le soleil Où les mal-âmes dansent Renaitre par être les animaux deviennent impatience de la forme de l'esprit Impatiente la forme de l'esprit nous convie, demain |
AR_d_N
| Envoyé vendredi 03 mars 2006 - 21h20: | |
Hêtre et lavoir miroir de l'arbre |
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