| Auteur |
Message |
    
zar
| | Envoyé dimanche 12 mars 2006 - 20h47: | |
tu ne sais pas
substance
ce sans parole de la tendresse
pourquoi les nuits où tu manquais
dans l’or des rêves
d’imagerie en présence
au pire du pire
des chocs
j’ai tant d’amour sur cette route
j’ai tant d’émotion
reversée
le dur effaçage du chambre à chambre
mes sons plantent
vers toi
leur évite obscurcie
mon envie de les tordre
tu ne sais si fortement pas
que c’est là le chemin vers le sable
escarpement
vers où, tu scandes
tu m’interroges
parce que j’ai tout dit
substance
parce que j’ai tout dit
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ali
| | Envoyé dimanche 12 mars 2006 - 21h41: | |
voilà encore un texte qui ne parle à personne sauf à moi!!hih |
za
| | Envoyé lundi 13 mars 2006 - 13h15: | |
L'ivresse,sur vos pas
le frisson
vous en gardez un appel
au coeur de cet alphabet
où d'un seul coup
sur la roche
suffit une arme
la cogne
bistouri de satire
pétards d'un maïs
ainsi que la mèche
la massue tangitane
et quelques capsules de poudrière
cette lointaine,là-bas
sous les monts
d'ici vous regardez tout
ce n'est pas simple qu'un front de guerre
téléphériques semelles des cordes un homme
qui passe
l'autre l'accuse de vol
la roche où est -elle
celle qui brille de loin
celle aux artifices des os
la baritine en carreaux
blanc tout blanc
le monde où va t-il
avec toute cette misère
est-ce un droit de marcher
sur un squelette des arbres ?
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zar
| | Envoyé lundi 13 mars 2006 - 13h17: | |
je précise que je ne suis pas za (j'aurais choisi un autre pseudo si j'avais vu avant,sorry) |
flo
| | Envoyé lundi 13 mars 2006 - 13h43: | |
tu es donc nouveau, un vrai, un poètes tout neuf? Bienvenue à toi dès lors :-)
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