| Auteur |
Message |
    
karl
| | Envoyé lundi 13 mars 2006 - 20h10: | |
et tu me parles de famille
comme un dernier bastion de l'amour
le regret de partir et d'oublier
tu me parles comme une feuille
tremblant sous l'hiver
tu dis le mieux c'est la famille
et l'autre qui nous questionne
"est-ce manger ou la famille le mieux"
avec ses mots de sainte pour sourire
pleine voile sur la vie
et je demeure seul ébahi
dans février qui se meurt
entre l'enfance résurrection
et la neige grise qui parle
de grandir encore
je t'écoute encore
miraculer des banalités incalculables
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Jordy
| | Envoyé lundi 13 mars 2006 - 21h32: | |
très chouette dans sa simplicité ce texte, Karl. Et émouvant. |
Kel
| | Envoyé lundi 13 mars 2006 - 21h51: | |
Ouais, tu es touchant comme bonhomme (et je dis ça sans notion de petitesse ou de grandiloquence : sincèrement, amitié) |
le chat sur la banquise
| | Envoyé lundi 13 mars 2006 - 22h31: | |
là tu parles !
là, Karl ( maudit que c'est beau )
..miraculer des banalités incalculables
hahahahah que c'est beau ! |
aglaé
| | Envoyé mardi 14 mars 2006 - 07h48: | |
pas de mots pour vraiment dire...
Simple et profond
Tout ce que j'aime
Aglaé |
karl
| | Envoyé mardi 14 mars 2006 - 14h19: | |
merci à vous! |
lilas
| | Envoyé mardi 14 mars 2006 - 22h36: | |
ILs ont tout dit : je signe. |