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zar
| Envoyé lundi 13 mars 2006 - 22h32: | |
celui-là un peu vieux ses cheveux je te le dis une vraie source, guitare posée sous les néons du manège moi je balance en mesure à côté d’autres jambes il m’en a fallu du temps pour la reprendre cette ligne en pur argent l’anneau caché de la souffrance deux serpents sur le bras je n’avais pas abandonné mais les roulements de l’âme à force et à force depuis l’antre de mes raisons ils vont se tromper, c’est sûr ils disent tout faux disent tout sombre serrez-moi fort, tes phrases, que je me décide à jouer sous les feuilles
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Lilas
| Envoyé mardi 14 mars 2006 - 22h34: | |
Il manque quelque circonstance pour éclairer ce poème.Tel quel, j'aime pourtant y rêver. Peut-être précisément parce qu'il me demeure encore mystérieux en dépit de son aspect familier? |
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