   
JG
| Envoyé mercredi 24 septembre 2003 - 22h00: | |
Tu nous reviens en vers… Au flan sur fond d’écume, le diable à fond de cale, démon d’un bateau blanc … Le vers au vert, creusé, du noir dans ta valise, la mer éparpillée, au gré d’une chanson … Avec la tête au loin, des mensonges et des rires, des pierres non écrites, au pâle et sous le vent . En mal de part en part, ciselé de "presqu’il" , la mer éternuée, d’encre sous les néons… Avec les mots béants, aux figures de riches De visage en visage dans ta larme rentrée Des visages à fond noir retenus de survivre Le rire persécuté A t’effacer de tout de visages en dérive Te surprennent de vivre Le rêve écartelé Soufflé à plus d’un Titre, à te chercher des larmes, gonflé comme une voile… A te chercher des vagues, celles que tu creuses, celles que tu vantes Aux pages non écrites…Ces armes, à contre nuit Effleurant de tes ongles, la superbe d'un rien. la superbe d'un tout A ne savoir que dire… « De se faire des peurs… il est si bon parfois ! » Aux sources d'un ailleurs, du bien comme du mal, avec d'autres beautés, Un envers de soi-même, juste haut dessus des phrases, qui tardent à venir… Le beau d'un petit rien, les matins retournés, aux lunes électriques En phrases bâties de mots, en forme de bateau, supposant la falaise, la mer et puis ses voiles, dans la brume qui pousse, touchant l'autre coté Au vague quand il s'emmêle… A ne savoir que dire, décrire, même l’écrire …"La mort… C’était demain" D'avoir que trop rêvé… Aux sources asséchées Fardé d’indifférence Un fragment d’écrit vain
|