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Favirol
| Envoyé mercredi 15 octobre 2003 - 12h29: | |
Le poète est jumeau, il est onze... Spasme. lucarne que contemple un rhizome discret disque qui susurre l’art lyrisme Damier d’où jaillit la solitude encadrement d’une plaine d’un échiquier de l’échec Ouvroir de l’infini lacune assassine abysses et lumière combe manuscrite fosse effritée Aphorisme qui poursuit les débris éclats fumée mains prismes de l’œil œillère Murs inertes ils dérivent sur la grève cette brume terre aux flancs déflorés Zébrés de maraudes de ces gouffres sueurs qui surplombent le leste orphelins miroirs avides qui dévorent triste miroirs de leur convoitise démente miroirs folies qui renvoient ce hasard de se savoir lié égoïstes miroirs des images gestes éphémères qui me scinde à l’acier que je tisse Nature morte des cadavres que j’empile sur les pavés coursive des corps Craies de l’ennui qui créent la peur, assassin des mots pâles alliés Retour éternel que j’extraie pour pallier les vides par mes erreurs éruptives de mes habitudes sur lesquelles je m’envole hélice sombre une allée où fleurissent à la bordure des écrans de métal taches de rousseur Hâves Yatagan de mes armes je déchire le sens |
   
Anonyme
| Envoyé mercredi 15 octobre 2003 - 17h48: | |
orphelins miroirs avides qui dévorent triste miroirs de leur convoitise démente miroirs folies qui renvoient ce hasard de se savoir lié égoïstes miroirs des images oui pour ce passage écriture un peu difficile sinon bienvenue parmi nous
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Favirol
| Envoyé mardi 21 octobre 2003 - 12h10: | |
Merci de ce commentaire constructif mais en fait je ne vois pas en quoi ce passage est de nature difficile. Haché, déconstruit ? Favirol |