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marc (Marc)
| Envoyé mardi 28 octobre 2003 - 08h47: | |
Ils entrent cuits mais entiers, ils ressortent tièdes, en purée. Leur fumet se teinte de métal, leurs couleurs se mélangent, s'étalent. Ainsi passent les légumes avant que de beurre ils ne se parent avant qu'écrasés ils ne se confondent. Douceur sur le palais, pourtant quelques grumeaux, nous rappellent la mécanique, ce simple compromis entre l'effort et le résultat Quelques filins d'un poireau perdu, un tronc de carotte, un céleri menu il s'est tu et trempe.... |
   
flo
| Envoyé mardi 28 octobre 2003 - 09h41: | |
Marc! :-))) Ca me rappelle que tu es un hérault du goût en tes contrées. ce n'est pas facile de faire de la poésie avec la cuisine, et pourtant, c'est réusssi, poésie à manger... Que deviens-tu? J'aimerais de tes nouvelles! flo PS: pour ceux qui veulent visiter son site: www.poesie.org
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Thierry
| Envoyé jeudi 30 octobre 2003 - 13h54: | |
Vrai que son poème donne faim ;-) Il met en appétit, ça me rappelle un peu "le festin de Babette" |
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