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Message |
   
eric dubois
| Envoyé lundi 24 novembre 2003 - 22h52: | |
L’UNITE SEULE Surprendre A hauteur de vue L’origine du temps Quelque chose Pourquoi laisser les Rêves De la véranda on distingue Les rumeurs de la Nuit Fendre le bois sur l’établi Et la paume ouverte Toujours l’unité seule En commun les avatars Si Le lyrisme de l’outil frappe Le cœur de l’ouvrier Quelque chose Ou quelqu’un Tes pensées seront les miennes Appartenir C’est ainsi que L’on remue ciel et encre Dans le fond du puits
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Hélène
| Envoyé mardi 25 novembre 2003 - 14h10: | |
A ta portée la lumière qui tremble le vent endormi près de l'oiseau la hache résonne bien plus à minuit le songe bavarde comme un insecte en plein été
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eric dubois
| Envoyé mardi 25 novembre 2003 - 15h53: | |
texte corrigé : L’UNITE SEULE Surprendre A hauteur de vue L’origine du temps Quelque chose Pourquoi laisser les Rêves De la véranda on distingue Les rumeurs de la Nuit Fendre le bois sur le billot Et la paume ouverte Toujours l’unité seule En commun les avatars Si Le lyrisme de l’outil frappe Le cœur de l’ouvrier Quelque chose Ou quelqu’un Tes pensées seront les miennes Appartenir C’est ainsi que L’on remue ciel et encre Dans le fond du puits
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