   
Florent
| Envoyé jeudi 18 décembre 2003 - 09h48: | |
N'était-ce "Un mère trop grosse Pour un enfant trop pâle Qui craint tant les ventres Des cavernes Des baleines L’étouffement plus que tout Sous les robes gonflées D'amour sombre" ? Vous touchez-là quelque chose de si sensible.. Cette rondeur Au ventre Comme une peur Du monde.. Si j'étais jlm je dirais que le jour aussi a ses longueurs d'avance.. Mais je pense simplement, que la nuit ne peut fuir éternellement. Votre troisième strophe Comme un combat Perdu d'avance.. J'ai aimé les vers 6 et 7 Au coeur des "froufrous" Pour un battement d'ombre rouge.. Je pense à vous De loin.. F.
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