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Anonyme
| Envoyé mardi 16 décembre 2003 - 17h04: | |
J’ouvre j’écarte je me dis devant derrière même vie et si les mots les plus meurtris ne portaient pas plus de fruits que les silences avertis J’embarque rires et voyages pour faire taire cette rancœur des nuits qui furent sans partage amères et à oublier j’aborde lueurs et naufrages des grands vaisseaux la traversée la musique les sonorités délivrent leur intensité Je suis demain et aujourd’hui rien jamais ici ne se passe ni plus grand ne devienne si avec vous je ne suis Des jours pareils à des silences ou dansent ombres et lumières des pluies des larmes des bonheurs et des désirs contenus en vous ici me retiennent rêves plaisirs et les amours les feux qui brûlent dans la plaine depuis hier depuis toujours J’arpente sables et rivages le risque de tous les voyages où pour partir il faut saisir la lumière son obscurité revenir comme on est allé puiser sans ne rien épuiser esquisser un monde plus vaste tel qu’ici nous l’aurions aimé
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Anonyme
| Envoyé mardi 16 décembre 2003 - 17h58: | |
J’écarte et toujours derrière moi se referme ce que j’ai écarté, mais, dans cet instant, ce froissement de pennes, se sont ouverts de l’espace les mystères, lieux non pas de connaissance, mais de saisissement à peine. la la la... |
   
Anonyme
| Envoyé mardi 16 décembre 2003 - 18h05: | |
J'avais jamais essayé le genre "chanson" moitié octosyllabique, c'est pénible ces contorsions... |
   
lalala
| Envoyé mardi 16 décembre 2003 - 18h11: | |
Toute écriture est une sorte de contorsion, non ? Quoi que, comme pour le corps, il doit y avoir des positions plus naturelles et agréables que d'autres. Comme une ligne plus directe. |
   
Anonyme
| Envoyé mardi 16 décembre 2003 - 18h14: | |
ne pas confondre le Kamasutra et la chansonnette lala lolita |
   
soupir
| Envoyé mardi 16 décembre 2003 - 18h28: | |
beaucoup confondent, pourtant, beaucoup... |