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Anonyme
| Envoyé mardi 06 janvier 2004 - 09h45: | |
L’île la nuit Le vent hissent le fleuve plus haut glisse le temps des branches nues dans la crue effleurent l’eau l’ île sera fleuve, pluie par le fleuve emportée ardoise vive écorchée barques murmurées biefs fragiles persistent dans les mots atteindre pour passer la rive attendre avant qu’il ne soit déjà si tard tendre vers l’île le silence étale l’heure de rentrer des rêves le voyage tu n’es pas si pressé de rendre la lumière aux pierres du chemin maintenant île elle toi en moi lentement viennent se serrer plus près (la Loire dans l’île Behuard)
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hélène
| Envoyé mardi 06 janvier 2004 - 10h40: | |
Très beau poème qui éveille bien plus en moi qu'un paysage. Le lecteur pille toujours, pardon et merci du plaisir . anonyme j'espère beaucoup vous revoir ici le silence étale l’heure de rentrer des rêves le voyage île elle toi en moi lentement viennent se serrer plus près
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4
| Envoyé mercredi 07 janvier 2004 - 02h40: | |
* knock-out * p.s. - direct entre mes trois yeux p.p.s. - .. ça chamboule
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1+1 = 3
| Envoyé mercredi 07 janvier 2004 - 03h23: | |
suis d'accord avec 4, ces chants et ce chant : splendide. Sais pas qui est-ce, mais en tout cas, ce quelqu'un recèle un joyau spendide. Merci à lui/elle. |
   
Leezie
| Envoyé mercredi 07 janvier 2004 - 07h22: | |
oui Hélène, j'aime aussi beaucoup la disposition qui n'est pas que visuelle, aussi sonore très beau |