Auteur |
Message |
   
passant
| Envoyé mercredi 12 mars 2003 - 11h06: | |
tu dis qu’il fera beau demain sinon qu’une goutte sur deux s’excuse et que la mer replie ses airs de grandes vacances dans le giron d’avril tu chantes une mélodie de rien pas facile un peu peur de ce silence contourné en pudeur chaque fois que reviens mon pourquoi en habit de bonjour je pense qu’il faut du temps de l’espace, mieux : le large réponds-tu sans regard je raccroche songeuse m’insurge de ta voix je te croyais parti la cabine téléphonique s’évente soudain puis s’efface dans une écharpe de sable mes paumes crient famine pourquoi trop loin pour dire au revoir
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karl
| Envoyé mercredi 12 mars 2003 - 13h37: | |
J'aime. Surtout les deux premières strophes. Karl |
   
elisa Aguirre
| Envoyé lundi 31 mars 2003 - 21h46: | |
Comme Karl, j'aime les deux premières strophes, la suite est trop dite, non suggerée, trop précise. |
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